2 mai 2021
7
02
/05
/mai
/2021
15:57
Bonjour à tous,
Le confinement, la distance maximum à parcourir de 10 kilomètres, la fermeture des musées, la suppression des visites et des voyages, sont des interdictions qui réduisent les possibilités d’éditer vidéos et carnets de voyages.
Nos activités reprendront bientôt avec la normalisation de la situation qui empêche aussi l’économie de tourner.
C’est la raison pour laquelle je vous invite à visiter quelques vidéos parmi les plus de 300 publiées précédemment.
Le musée Rodin à Paris
Le Cap de Bonne Espérance en Afrique du Sud
Imperia la fête de l’olive
Milan : les musées Poldi-Pezzoli et Bagatti Valsecchi
Published by Guy Muller
-
dans
Editorial
1 janvier 2020
3
01
/01
/janvier
/2020
15:46
Meilleurs vœux à tous pour l’année 2020 : joie, santé, bonheur
Les chutes du lac Victoria sont à sec en ce moment. Pour les voir en activité depuis un hélicoptère :
Histoire.
Alors que la Grande Bretagne s’éloigne de l’Europe, n’oublions pas qu’elle fut un refuge pour les français en 1870 (Commune) et en 1940. Cette vidéo rappelle l’essor de nos peintres réfugiés.
Il est beaucoup question en ce moment des routes de la soie construites avec l'aide la Chine. Mais la Turquie est aussi présente et tisse des liens avec l'Ouzbékistan. Le 1er mai 2018, la ville de Boukhara recevait les deux chefs d'Etat dans la liesse et au milieu des groupes folkloriques rassemblés.
La chute d’An sun su kyi
Cette vidéo rappelle l’ambiance et le fort soutien des moines lors d’une manifestation à Mandalay. Portée au pouvoir, la victime de la junte militaire, est désormais appelée à défendre les mêmes militaires pour crimes contre la communauté Rohinga. En deux ans, depuis son arrivée au pouvoir en Birmanie, saluée à l’époque comme une « nouvelle ère pour la démocratie », la Nobel de la paix 1991, Aung San Suu Kyi n’aura cessé de décevoir, jusqu’à trahir la confiance de la communauté internationale. Après avoir nié la semaine dernière les accusations du dernier rapport de l’ONU sur le génocide des Rohingyas, elle est restée silencieuse au lendemain de la condamnation à sept ans de prison de deux journalistes birmans de l’agence Reuters. Ils avaient enquêté l’année dernière sur les massacres perpétrés par les militaires contre les Rohingyas.
Venise actuellement sous les eaux
Après des travaux, le musée des Arts Asiatiques de Nice a rouvert le 14 décembre.
Published by Guy Muller
-
dans
Editorial
31 décembre 2018
1
31
/12
/décembre
/2018
18:30
Programme spécial pour ce début d'année !!
Ce ballet sur une musique de Ludwig Minkus a été monté par Marius Petipa à Saint Petersbourg. Rudolf Noureev remanie le ballet pour l'Opéra de Paris en 1992. Cette version est toujours interprétée. Noureev, en 1992, au terme de sa carrière et de sa vie, remonte ce ballet. La direction de l'Opéra de Paris sait que le sida dégrade rapidement la santé de Noureev et que cette production sera sans doute la dernière qu'il offrirait au monde. Pour cette raison, elle lui alloue un budget très important venant en sus de différents mécénats. C'est en ce sens que le ballet auquel Noureev tient le plus à cœur, auquel il a consacré sa santé et beaucoup travaillé, représente le testament artistique du prodigieux danseur et chorégraphe qu’il a été. C'est dans cette optique que sa Bayadère est dansée de nos jours à l'Opéra de Paris. Le danseur-étoile Laurent Hilaire commente ainsi la reprise du ballet par Noureev : « La Bayadère était plus qu'un ballet pour Noureev et tous ceux qui l'entouraient. C'est l'idée que j'en retiens... que quelqu'un approche de la mort, qu'il est mourant, et qu'au lieu de disparaître il nous a donné ce merveilleux ballet ».
Cet orient fantasmé nous transporte
Cet Orient, avec étoffes soyeuses, costumes raffinés aux couleurs éclatantes, retient notre attention. Y compris et surtout le 2e acte célébrant les fiançailles de Solor et Gamzatti . Une surenchère de tableaux avec éléphant bleu à roulette, dépouille de tigre, chaises à porteur et nombre de valses et de polkas où brille le corps de ballet. L’architecture rappelle les palais hindous, une somptueuse musique nous transporte au pays des maharadjahs.
Il faut savoir que de nombreuses versions du ballet ont existé. Ce sont surtout les « caprices » des étoiles qui étoffèrent progressivement la durée du ballet. L’introduction de l’idole d’or, d’un pas de deux, la modification de la descente de l’Himalaya, ajout de tulle aux bras, danse autour d’un voile… Ces ajouts ont permis la suppression du dernier acte : la destruction du temple. Staline aurait été à l’origine de sa suppression car les Dieux ne peuvent intervenir dans la vie des hommes…
Cependant le Royaume des ombres donne une noblesse à l’attitude des danseuses. Elles viennent chercher le corps de la Bayadère en descendant lentement du Nirvana. L’entrée du corps de ballet d'Ombres (les fantômes de servantes décédées d'un temple hindou) crée une composition qui exige une synchronisation absolue entre chaque pas des ballerines. Les danseuses composant le corps de ballet pénètrent sur la scène vêtues d'un tutu blanc avec des voiles entourant leurs bras. Chaque ballerine avance, une par une, le long d'une planche inclinée à trente degrés avec une simple arabesque cambrée immédiatement suivie d'une cambrure du torse, les bras en cinquième position (pour éviter de partir en avant et de tomber). Elle fait un pas en avant tout en se redressant et libère la place pour l'ombre suivante, en remplissant peu à peu la scène. La création d’une double extension de la jambe ralentit le défilé et donne un caractère poétique, voire transcendant à cette version Bastille. Au fur et à mesure de l'alignement des ballerines sur quatre rangs, la couleur de la scène devient cristalline et une complexe géométrie se forme. La prise de vue en hauteur rend compte de la gestuelle du groupe. Une vue stroboscopique des mouvements à certains moments emporte une forme de magie. C’est du grand art !!
Avec mes meilleurs vœux de bonne santé,
de joies et de nouvelles découvertes en
2019
Published by Guy Muller
-
dans
Editorial
19 juillet 2016
2
19
/07
/juillet
/2016
14:40
Nice, le 14 juillet 2016
Face à ce détestable évènement, je souhaite montrer quelle a été l'attitude de la population, apportant des messages, des bougies, des galets, des fleurs et des peluches aux emplacements mêmes où les victimes sont tombées.
La circulation sur la Promenade reprenant tous ses droits, les témoignages de sympathie sont transférés vers un endroit plus anonyme, au risque d'oublier les lieux où de nombreux visiteurs de toutes nationalités s'étaient exprimés.
L'Internet permet de conserver la trace d'un acte abject, incompréhensible pour les individus normaux, mais rendu possible par le fanatisme.
Pourquoi les enfants ? C'était le cri d'indignation unanime des personnes venues se recueillir sur les lieux du drame.
Published by Guy Muller
-
dans
Editorial